On ne badine pas avec la mort
Une fausse nouvelle annonçant le décès de mon ami Fabrice m’a fait comprendre la légèreté des Camerounais sur un sujet aussi sensible que la mort...
Je suis né en 1982 et donc je fais partie de la génération Y. Mais quand je discute avec un adolescent camerounais d’aujourd’hui, j’ai la curieuse sensation qu’on n’arrivera jamais à se comprendre. Parce que je lui parlerai d’un temps et d’une époque qu’il n’aura plus jamais l’opportunité de connaître…
Nous devons recommencer la lecture !