Le roman de ma mère
À Pauline Magne, ma mère.
Ce n’est pas parce que des voleurs ont cambriolé dans ta maison que tu vas penser que ta vie est déjà terminée. Ce n’est pas parce que des agresseurs t’avaient poignardé que tu vas penser que tu es déjà mort. Ce n’est pas parce que tu as tout perdu dans la vie que tu vas commencer à imaginer que tu n’es pas aussi un enfant de Dieu…
Quand je disais ici l’année surpassée que j’avais déjà trente-trois ans, moi-même je pensais que c’était la blague ! Mais samedi dernier pendant mon anniversaire, j’ai constaté que je viens d’avoir complètement trente-cinq ans. Et j’ai compris qu’il faut qu’on apprenne parfois à faire le bilan de notre vie…